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mardi 29 décembre 2015

Jean Giono - Que ma joie demeure (III)

Qu'est-ce que la joie? Qu'est-ce que la simplicité? 
Ou, au fond, qu'est-ce qui vaut et qu'est-ce qui ne vaut pas ou alors pas assez pour qu'on y concentre l'activité d'une vie? 

Jourdan et Carle, deux personnages de "Que ma joie demeure" de Jean Giono nous donnent une réponse, à leur manière, à la Bobi, en "parlé" paysan, et ça sent bon le pain chaud et les odeurs de châtaignes. 

Où l'on comprend que la sobriété ce n'est pas l'ascétisme. C'est bien au contraire la multiplicité et des besoins et la richesse des expériences pour peu que l'on préserve notre seul "capital", le temps.

mardi 22 décembre 2015

Des identités paisibles sont-elles possibles?

Nous sommes en ce moment au Vietnam, à des milliers de kilomètres de la politique française et de ses débats parfois lamentables. Mais, bien que nous soyons loin et pas toujours connectés,  je finis toujours par recevoir quelques échos lointains des disputes médiatico-politiciennes hexagonales. Dans la plupart des cas, les aboiements de nos représentants et de leurs porte-voix m'indiffèrent ou, au mieux, me font sourire. Parfois cependant, l'actualité se télescope avec ce que nous vivons au cours de notre voyage et pour peu que le sujet "m'agace" suffisamment, je reprends mon clavier avec rage ... 

C'est le cas aujourd'hui avec la question de l'identité qui refait surface à l'occasion d'une interview de Gilles Kepel par Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV à la suite des élections régionales. 
Tout ceci serait une tempête dans un verre d'eau et ne mériterait pas que nous y passions du temps si il n'y avait pas là un enseignement à tirer pour les Open Village. 

vendredi 18 décembre 2015

Jean Giono - Que ma joie demeure (II)

Giono écologiste? Sans doute, encore que son écologie est plus proche d'un Henri David Thoreau que de celle des leaders actuels de l'écologie politique en France...

Mais, Giono humaniste, alors oui et encore plus ! En tout cas, il est certainement celui qui réconcilie le plus profondément, le plus intimement, Nature et Humanité dans une langue inimitable. Morceau choisi...




lundi 14 décembre 2015

Giono et Emerson nous parlent de la crise

On parle de la crise comme étant financière, économique, de la dette, dans tous les cas étrangère à nous, indépendante de nos actions ; une crise de « pas de chance » ou une crise pour laquelle nous trouvons quelques bouc-émissaires tout désignés, les banquiers, les grands patrons, les politiques, l’administration, les grecs, les américains, les islamistes, Poutine, Sarkozy ou Hollande, ou tout ce beau monde à la fois… Et si cette crise dans laquelle nous sommes englués depuis 7 ans maintenant, était plus que ça : une crise de dégoût de nous-même et une crise de confiance en notre capacité à redéfinir notre propre destinée? 
Regards croisés de Giono et d’Emerson.



mercredi 9 décembre 2015

Lettre ouverte aux négociateurs de la Cop 21

Alors que vous en êtes à vos grossiers marchandages, «tant de degrés contre tant de millions », il nous semble honnête de vous dire la vérité : le problème est beaucoup plus grave que les 2 ou 3 degrés pour lesquels vous vous êtes réunis.

Car par miracle auriez-vous résolu le problème du réchauffement climatique qu'il vous restera celui de l'accès à l'eau, puis celui des ressources halieutiques, puis de la désertification et de l'appauvrissement des terres, puis de la sauvegarde de la biodiversité puis... puis....

lundi 7 décembre 2015

La route : 3 premières études de cas (2/3)

J’ai déjà évoqué dans ce blog la critique Illitchienne sur les modes hétéronomes de transport: au-delà d’un certain seuil, les investissements visant à faciliter ou accélérer les déplacements « jouent » contre leurs objectifs. Cette analyse a elle-même été beaucoup critiquée par les partisans du développement par les infrastructures et, il faut l’avouer, complètement ignorée par les décideurs politiques du Nord et du Sud qui ont continué de plus belle à dépenser l’argent de l’Etat dans de belles autoroutes ou de nouvelles lignes de TGV. Ont-ils eu tort ? Comme toujours la réponse est certainement à nuancer. Plutôt que d’entrer dans ce débat qui est autant technique qu’idéologique, j’ai choisi cette fois-ci de partager avec vous quelques observations glanées lors de ce voyage. 
Voici la 2ème partie.
Lire ici la 1ère partie 

samedi 5 décembre 2015

La route : 3 premières études de cas (3/3)

J’ai déjà évoqué dans ce blog la critique Illitchienne sur les modes hétéronomes de transport: au-delà d’un certain seuil, les investissements visant à faciliter ou accélérer les déplacements « jouent » contre leurs objectifs. Cette analyse a elle-même été beaucoup critiquée par les partisans du développement par les infrastructures et, il faut l’avouer, complètement ignorée par les décideurs politiques du Nord et du Sud qui ont continué de plus belle à dépenser l’argent de l’Etat dans de belles autoroutes ou de nouvelles lignes de TGV. Ont-ils eu tort ? Comme toujours la réponse est certainement à nuancer. Plutôt que d’entrer dans ce débat qui est autant technique qu’idéologique, j’ai choisi cette fois-ci de partager avec vous quelques observations glanées lors de ce voyage. 


Voici la 3ème partie.

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