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mardi 27 octobre 2015

Education et pauvreté (II)

Il n’a pas échappé à certains d’entre vous (comme en témoignent les commentaires et les emails que j’ai reçus en réaction à mes précédents posts sur ce blog) que la problématique de l’éducation me semble centrale (mais si elle n’est pas la seule) dans la question du développement.

Ma critique de la fausse évidence dont je parlais dans mon article publié début septembre (Education et pauvreté I), devient de plus en plus argumentée à mesure que nous avançons dans notre voyage et que nous rencontrons des communautés que le système éducatif national a fragilisé au lieu de les renforcer.

samedi 17 octobre 2015

Articles sur wedemain


Depuis 3 mois, je publie des articles sur Wedemain.fr, un magazine que je recommande à tous ceux qui s'intéressent aux changements nombreux et positifs que connait le monde. 

Article du mois d'août : "À 50 ans, avec nos cinq enfants, nous quittons tout pour repartir à l'école"
Article du mois de septembreTizi n’Oucheg, un village marocain rendu autonome par ses habitants
Article du mois d'octobre : Diversité religieuse et éducation: le pari gagnant du village sénégalais d'Enampore

Je continuerai à publier tous les mois jusqu'à la fin de notre tour du monde.
N'hésitez pas non plus à partager et à commenter.

Hospitalité à vendre

L’hospitalité est-elle à vendre ? Pour nous qui avons grandi et vécu dans un pays où l’hospitalité est (encore…) un art de vivre, la question peut sembler saugrenue. Comment pourrait-on vendre ce qui a plus de valeur que tout ce qu’on possède ? Dans la plupart des traditions du Nord au Sud de l’Afrique l’hospitalité est un bien moral avant d’être un actif valorisable. Elle ne s’échange pas, elle se donne. Dans les communautés où l’hospitalité a encore un sens éthique, la famille la plus pauvre reçoit son hôte en tuant son dernier poulet qu’elle avait gardé pour cette occasion. Et si le voyageur de passage ne devait plus jamais revenir,  il n’y aura de toutes manières pas eu de dette contractée et à recouvrir.

lundi 12 octobre 2015

Fétiches et Objets

C’est bien beau tout cela, me disait il y a quelques jours l’un de mes amis, vouloir la sobriété heureuse, la fin de la société de consommation, le retour aux vraies valeurs humaines et le rejet de l’argent… Mais comment réalise-t-on tous ces nobles objectifs alors que personne, c’est-à-dire lui et moi y compris, n’est prêt à abandonner ses possessions pour aller vivre en ermite loin de la tentation des « choses ».  Nous voulons tous rêver : comment allons-nous convaincre les gens de rêver à un futur avec moins alors qu’ils ont toujours voulu plus ? Quelle baguette magique va transformer nos contemporains, sinon en ascètes vertueux du moins en consommateurs « raisonnables et mesurés » ?

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